mercredi 27 janvier 2016

Une ardente patience par Antonio Skármeta


Synopsis

Réfractaire au métier de pêcheur, Mario Jimenez trouve son bonheur grâce à une petite annonce du bureau de poste de l'île Noire. Facteur il sera, avec pour seul et unique client le célèbre poète Pablo Neruda. Leur relation, d'abord banale et quotidienne, se transforme, par la magie du verbe et de la méraphore, en une amitié profonde. Mais malgré leur isolement, l'Histoire les rattrape...







Plus d'infos

Auteur : Antonio Skármeta
Titre : Une ardente patience
Titre original : Ardente Paciencia
Éditions : Points
Genre : Fiction
Pages : 156
Bande annonce du film :

(Je ne l'ai pas trouvé en français, désolée).




Mon avis

      J'ai lu ce roman pour préparer mon examen oral de Français. C'est la première fois que je lis un livre d'un auteur chilien ou tout simplement qui prend place au Chili. Il est centré sur la politique chilienne et la poésie (les métaphores surtout) qui était l'un des sujets sur lesquels nous étions interrogés.

      J'ai découvert l'atmosphère de l'Île Noire, une île chilienne, pendant les années 70. J'ai été surprise par l'époque (je ne m'étais pas renseignée) et donc encore plus dépaysée. Les panoramas que j'ai imaginés étaient magnifiques.

      Le personnage de Mario est simple et même si ces n'est pas le héros le plus extraordinaire que j'ai lu, il n'est pas pour autant désagréable de le suivre. C'est Neruda que j'ai trouvé passionnant, il est très intelligent et sage, dommage qu'il ne soit pas plus présent.

      L'histoire n'est pas aussi mouvementé que ce que j'ai l'habitude de lire, c'est même un récit très calme si on met de côté les problèmes politiques qui sont en toile de fond. Selon moi, on pourrait diviser le roman en deux parties. La première raconte les tentatives de Mario, avec les conseils de Neruda, pour séduire Beatriz. Durant la seconde, Neruda est à l'étranger et le temps passe très vite. Je pense que c'est cette vitesse qui m'a fait décrocher à la fin.

      Je suis une nouille magistrale que ce soit pour la politique ou la poésie. Ce sont deux sujets qui reste, même après quelques heures de cours sur le sujet, très obscur pour moi. Je comprends les métaphores à petites doses mais lorsque l'auteur se lance sur une, longue de trois pages (sur je ne sais même pas quoi), je ne comprends plus rien.



Ma note : 3,5/5

-Justine- 

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